 ••Annyeong, i'm
Manobu Ren !
Tell me your everything.★ mensonges : 171
 |  Sujet: Re: Petite pause en bord de mer~ NC -17 Ven 2 Nov - 14:30 | |
| Le jeune humain savait parfaitement que son petit ami allait etre celui qui y arriverait et obtiendrait son gros nounours. Ca ne faisait pas énormément de suspense, certes, mais ca lui faisait réellement plaisir de voir l'homme qu'il aimait se battre pour lui, pour avoir son attention et pour lui prouver qu'il devrait toujours etre le seul sur lequel il devrait poser les yeux. Il n'en avait pas besoin, bien sur, parce que meme si cet homme lui avait eut cette peluche, jamais il ne l'aurait embrassé ou meme considéré comme important. Il n'aimait qu'une seule personne, et c'était l'ange qui s'approchait de lui avec un air fier sur le visage faisant penser à un adolescent qui avait réussi à impressionner la fille qu'il aimait et l'ourson dans les bras.
Le jeune homme se moqua gentiment de lui mais l'assura qu'il n'avait aucun soucis à se faire, parce qu'il n'aimait qu'une personne, et c'était son petit ange. Mais comme Yuto le savait, il n'eurent pas besoin particulièrement de mots pour se le dire. Un baiser et un regard suffisait. Puis, joyeux, ils avaient repris leur marche vers la brocante, ou ils achetèrent quelques souvenirs pour égayer leur appartement et leur donner la sensation en rentrant, d'etre encore en vacances.
Quelques unes seulement....C'était dire vite. Ren était tellement charmé par une multitude de choses que si son petit ami l'avait écouté, ils auraient emporté tout le marché. Heureusement, ils rentrèrent avec un quantité raisonnable de choses.
Le soleil se couchait quand ils arrivèrent à leur petite maison. La petite dormait à poings fermés, et sûrement jusqu'au lendemain, et le plus jeune alla la mettre au lit tandis que son compagnon prenait une longue douche bien méritée. Il ouvrit le livre de cuisine et chercha quelque chose a faire avec ce qu'il restait dans le frigo, puis, tandis que cela mijotait, faisant planer une délicieuse odeur jusqu'à l'extérieur par la grande porte fenetre ouverte, il se rendit sur la terrasse pour observer le coucher de soleil.
C'est à ce moment là qu'un vertige un peu surprenant le prit. Rien de bien grave, mais c'était signe qu'il avait un peu trop poussé le bouchon, et qu'il fallait absolument qu'il se repose. Il trébucha, et heureusement, son petit ami apparut au bon moment pour lui éviter de tomber et de se faire mal.
- T’en fais encore trop, ma petite femme du logis ! fit-il sur le ton de la plaisanterie, voulant détendre l’atmosphère. Comment tu te sens ?
Le jeune homme fut heureux qu'il ne joue pas la maman poule et qu'il fasse comme si de rien n'était. De plus, son vertige était passé comme il était venu, donc il n'y avait strictement rien d'inquiétant dans tout cela. Alors il joua le jeu, pincant la joue de son compagnon doucement.
-Tout va bien, maman poule ! Je me sens juste un peu epuisé. Fit t'il en feignant un bâillement. Et puis j'ai faim. On va manger ?
Le plus vieux insista tout de meme pour servir la nourriture et le plus jeune ne broncha pas, il le laissa faire et lui sourit largement en le remerciant doucement alors qu'il s'asseyait en face de lui. Le calme régnait dans la maison, seulement troublé par leur conversation et le bruit des vagues, à quelques mètres.
Quand soudainement, le jeune homme sentit un pied vagabonder à un endroit très dangereux de son corps, si bien qu'en le sentant faire, le jeune homme manqua d'avaler sa soupe de travers.
-Qu'est ce que tu.... ?
- Mmmh ? Qu’y a-t-il ?
Un sourire amusé se mit à fleurir sur le visage du plus jeune et il attrapa le pied du plus vieux avec un sourire malin.
-T'es vraiment un pervers, tu le sais ca ?
Il rit doucement, lui chatouillant la plante des pieds pour se venger. Ils finirent donc de manger tranquillement. Après avoir ramené les affaires à la cuisine, faire la vaisselle s'avéra etre un vrai parcours du combattant, avec le plus vieux qui essayait constamment de le déconcentrer, avec des bisous dans le cou et des chatouilles.
Ils ne tardèrent pas à aller se coucher, épuisés, ce qui ne les empêchèrent pas de déraper un peu, avec les avances peu subtiles de son compagnon qui ne le laissaient pas du tout indifférents.
(…)
Le lendemain matin, ils durent se lever tot pour rentrer, malheureusement. Le lendemain, ils reprenaient tous les deux le travail ou avaient des choses importantes à faire sur Séoul...mais ils eurent un pincement au cœur en rassemblant leurs affaires et en chargeant la voiture. Ils durent dire au revoir et à bientôt à leur petite maison. |
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